INTERNATIONALISATION

Nous exportons dans le monde entier le label « Made in Spain », gage de qualité et de travail bien fait.

Les produits et les services du groupe Jover portent la marque espagnole. En ces temps de mondialisation, la force du secteur asiatique est là, mais il ne fait aucun doute qu’il est presque impératif de continuer à parier sur l’internationalisation de notre secteur si nous voulons assurer la survie d’une industrie aussi autochtone et au potentiel de croissance aussi important que l’industrie de la chaussure dans la Communauté valencienne.

Nous devons continuer à nous tourner vers l’étranger pour surmonter la situation de crise que nous connaissons et pour faire face aux chutes de la consommation de mode provoquées par la pandémie de covid-19, car cette consommation globale de mode affecte directement et indirectement chacun des piliers qui façonnent la chaussure dans toutes ses typologies. Ces baisses sont très préoccupantes pour le secteur et génèrent évidemment de l’incertitude dans le secteur. Incertitude quant à la profondeur des signes de ce virus dans l’économie mondiale, et incertitude quant au moment où cette situation économique reviendra à la normale. Face à ce panorama, nous n’avons d’autre choix que d’envisager l’internationalisation sous tous les angles possibles, dans une perspective de resserrement des rangs face à ce problème, par le biais d’une coopération mondiale visant à en minimiser les effets.

L’exportation et la commercialisation internationale de nos produits est l’une des priorités de l’équipe de direction du groupe. Ce facteur, qui nous a permis d’éviter diverses crises dans l’histoire du secteur, nous aidera désormais à faire face à la nouvelle situation économique qui s’ouvre devant nous. L’industrie doit se déplacer dans le monde entier, et pas seulement sur le marché unique européen. Tout ne peut pas être européen, de même que tout ne doit pas être confiné à un marché unique. Nous devons être multipolaires et nous enraciner dans différents marchés internationaux. Bien sûr, le marché européen doit être notre espace naturel, mais nous ne devons pas oublier d’autres scénarios d’expansion. N’ayons pas peur de regarder l’avenir avec détermination.

 

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